Résaux sociaux, les nouveaux dealers...

Le saviez-vous, les entreprises leaders des réseaux sociaux developpent des algorithmes pour nous rendre de plus en plus addicte à leur meta-platteforme.

En se basant sur les deniers developpement en neurosciences, elles exploitent les automatismes de récompenses du cerveau pour progressivement augmenter la production de dopamine et donc de plaisir lors de l’utilisation de leur produit. Ce domaine de la “science” répond au doux nom du NEUROMARKETING.

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Les réseaux sociaux ont des caractéristiques addictives, notamment des notifications, des likes, des commentaires, qui suscitent des réactions émotionnelles et renforcent la gratification immédiate. Les entreprises de réseaux sociaux utilisent des algorithmes sophistiqués pour collecter des données sur les utilisateurs et créer des contenus personnalisés, ce qui augmente l'attrait de la plateforme pour l'utilisateur.

De la même manière, les dealers de drogue attirent leur clientèle en utilisant des techniques de marketing sophistiquées, en offrant des produits de qualité et en entretenant des relations avec leurs clients pour les inciter à revenir.

Les réseaux sociaux peuvent également avoir des effets néfastes sur la santé mentale, comme l'anxiété, la dépression, l'isolement social et la dépendance. De même, l'abus de drogue peut avoir des conséquences graves sur la santé physique et mentale.

Les réseaux sociaux ont des caractéristiques addictives qui peuvent provoquer une libération de dopamine dans le cerveau, une hormone associée au plaisir et à la récompense. Les notifications, les likes et les commentaires sur les réseaux sociaux peuvent susciter des réactions émotionnelles et renforcer la gratification immédiate, ce qui incite les utilisateurs à continuer à utiliser la plateforme pour obtenir ces stimuli agréables.

De même, les dealers de drogue cherchent à susciter une libération de dopamine chez leurs clients en offrant des produits de qualité, en utilisant des techniques de marketing sophistiquées et en entretenant des relations avec leurs clients pour les inciter à revenir.

Cependant, la recherche a montré que l'abus de la dopamine peut avoir des conséquences néfastes sur la santé mentale, telles que l'anxiété, la dépression, l'isolement social et la dépendance. En outre, l'abus de drogue peut altérer les circuits de la dopamine dans le cerveau, ce qui peut entraîner une dépendance plus forte et des effets néfastes sur la santé physique et mentale.

En résumé, l'expression "les réseaux sociaux sont les nouveaux dealers" souligne les similitudes entre les pratiques des entreprises de réseaux sociaux et des dealers de drogue en termes de libération de dopamine, de marketing, d'addiction et de conséquences négatives sur la santé mentale.

Marie-Christine Ottet